Quand la peinture parle...
Publié le 08 novembre 2018
My Little BookclubEn-fin ! Depuis le temps qu'on l'attendait, Haruki Murakami, l’écrivain phénomène aux succès internationaux, revient après le coup de maître mondial de sa dernière trilogie, 1Q84. Dans sa nouvelle odyssée en deux tomes, Le Meurtre du Commandeur, l’écrivain japonais questionne la place de l’âme et de l’inspiration, et dévoile ses obsessions les plus intimes.
Le narrateur, un portraitiste à succès, vient de se faire quitter par sa femme. Il décide alors de se calfeutrer dans la maison d’un ancien grand maître du nihonga (la peinture japonaise) pour espérer repeindre à nouveau. Ce qu'il trouve rapidement c'est un tableau, Le Meurtre du Commandeur, dont la découverte semble réveiller un monde parallèle...
Par la douceur de ses mots, par son phrasé évanescent, Haruki Murakami plonge le lecteur dans une atmosphère pleine de brouillard et d'onirisme. Le temps ralentit, la lecture vous imbibe du calme de la nature japonaise et du tourment de la question de la création artistique.
Le narrateur, un portraitiste à succès, vient de se faire quitter par sa femme. Il décide alors de se calfeutrer dans la maison d’un ancien grand maître du nihonga (la peinture japonaise) pour espérer repeindre à nouveau. Ce qu'il trouve rapidement c'est un tableau, Le Meurtre du Commandeur, dont la découverte semble réveiller un monde parallèle...
Par la douceur de ses mots, par son phrasé évanescent, Haruki Murakami plonge le lecteur dans une atmosphère pleine de brouillard et d'onirisme. Le temps ralentit, la lecture vous imbibe du calme de la nature japonaise et du tourment de la question de la création artistique.
Haruki Murakami, Le Meurtre du Commandeur, Une Idée apparaît, Livre 1, aux éditions Belfond, 456 pages, 23,90€.